。˛ °.★__ *★* *˛. ˛ °_██_*。*./ \ .˛* .˛.*.★* *★ 。* ˛. (´• ̮•)*˛°*/.♫.♫\*˛.* ˛_Π_____. * ˛* .°( . • . ) ˛°./• '♫ ' •\.˛*./______/~\ *. ˛*.。˛* ˛. *。 *(...'•'.. ) *˛╬╬╬╬╬˛°.|田田 |門
le 8 mai 2013 journée de la femme
Pour nous les femmes c'est tous les jours , mais enfin nous acceptons d’être fêtées pour faire plaisir aux messieurs.........
Nous venons de loin dans nos droits ,En France, une légende veut que l’origine du 8 mars remonte à une manifestation d’ouvrières américaines du textile en 1857, événement qui n’a en réalité jamais eu lieu (aucun journal américain ne le relatant)
Ce mythe est né en 1955 dans L'Humanité qui relate une manifestation de couturières new-yorkaises. Cette information est relayée chaque année par la presse militante du PCF, de la CGT et celle des « groupes femmes » du Mouvement de libération des femmes, puis reprise par les quotidiens nationaux. Il s'agit d'un clin d’œil des féministes américaines qui, dans les années 1950, veulent à la fois intégrer cette journée dans le contexte américain et rendre un hommage à Clara Zetkin, 1857 étant son année de naissance.[
Par contre un événement historique s'est produit le 25 mars 1915 dans l'usine textile Triangle Shirtwaist de New York. Dans cette usine il y avait eu des grèves et des répressions en 1906,
deux ans avant la tragédie où 146 personnes, la plupart des jeunes femmes d'origine italienne et juive de l'Europe de l'Est, y compris des filles de 12-13 ans, sont mortes à cause de l'incendie de l'usine, enfermées par les patrons, Max Blank et Isaac Harris, qui s'en sortirent en dédommageant 23 familles endeuillées de 75 $.
Cette histoire, officiellement rappelée par la ville de New York8 et par l'ONU , bien qu'elle ne soit pas à l'origine de la naissance de la journée internationale de la femme, fait partie des épisodes les plus tragiques d'exploitation des femmes ; c'est pourquoi elle a été citée ou commémorée dans les journées internationales des femmes, où l'on se réfère encore à la mémoire historique des luttes des femmes et du mouvement ouvrier international.
Depuis longtemps, y compris les auteurs de la Déclaration des Droits de l'Homme, il n'était pas question dans leur esprit que les notions de liberté ou d'égalité s'appliquassent à la mauvaise moitié du genre humain. Il n’était pas question de leur laisser une place dans l'histoire de France ou elles n'avaient rien à faire, on le leur prouva.
C'est ainsi qu'on ne saura jamais rien ou presque
-d'une Théroigne de Méricourt de son vrai nom Anne-Josèphe Terwagne, née le 13 août 1762 à Marcourt dans l'ancienne principauté de Liège et morte le 23 juin 1817 à l'hôpital de la Salpêtrière de Paris, est une femme politique française, personnalité de la Révolution.Le 26 janvier 1792, elle fait son entrée pompeusement aux Jacobins. Elle se range alors du côté de Brissot, s'affirmant nettement républicaine contre les royalistes qu'elle apelle le « parti des aristocrates » mais également contre la bourgeoisie qui souhaite que la femme reste au foyer, ce qui lui vaut des ennemis même du côté de la révolution.
Elle est de tous les combats. Favorable à la guerre, au printemps 1792, elle tente de créer une « phalange d'amazones ». Elle participe activement à l'invasion du palais des Tuileries par le peuple de Paris le 10 août 1792, poussant notamment la foule à massacrer le pamphlétaire François-Louis Suleau. Le 13 mai 1793, à l'Assemblée nationale, accusée de soutenir Brissot, chef de file des Girondins, elle est prise à partie par des femmes jacobines qui la traitent de brissotine de girondine, la dénudent et la fessent publiquement, jusqu'à l'intervention de Marat qui fait cesser cette humiliation
-d'une Claire Lacombe On sait que Claire Lacombe était belle femme, comme le dit avec condescendance le montagnard Choudieu, député de Maine-et-Loire : « Mlle Lacombe n’avait d’autre mérite qu’un assez beau physique. Elle représentait dans nos fêtes publiques la déesse de la liberté. Elle avait, comme Mlle Théroigne, une grande influence dans les groupes. Elle n’avait aucune qualité brillante, mais ses manières convenaient à la masse du peuple. »
Le 12 mai 1793, les Républicaines Révolutionnaires demandent le droit de porter les armes pour combattre en Vendée. Claire Lacombe joue un rôle important au cours des évènements du 31 mai et du 2 juin, participant aux débats et poussant à l’insurrection. En août, elle réclame par une pétition que tous les nobles de l’armée soient destitués et le 5 septembre, elle demande même l’épuration du gouvernement. Cette fois, les Jacobins s’en prennent à elle et l’accusent de délits imaginaires, certes peu crédibles, mais extrêmement dangereux à l’époque : avoir donné asile à des aristocrates par exemple.
Arrêtée le 16 septembre elle est relâchée le soir même. Le 7 octobre 1793, elle se présente à la barre de la Convention et réfute les arguments de ses adversaires, dénonçant au passage l’oppression dont sont victimes les femmes, ajoutant même : « Nos droits sont ceux du peuple, et si l’on nous opprime, nous saurons opposer la résistance à l’oppression ».
-Des sœurs Ferning qui se battirent dans les armées de la République
Félicité de Fernig, et Théophile de Fernig, .
Elles étaient âgées l’une de seize ans et l’autre de treize, lorsqu’elles se placèrent en 1792 dans les rangs de la garde nationale de Mortagne, et se battirent contre les Autrichiens. Instruite par Bournonville, la Convention leur envoya deux chevaux richement caparaçonnés.
Douées d’une grande beauté, ces deux sœurs s’attachèrent à la fortune de Dumouriez qui leur donna deux commissions d’officiers d’état-major et les prit pour aides-de-camp. Elles combattirent en cette qualité à Valmy, à Jemmapes, à Anderlecht, à Nerwinde, et firent plusieurs actions glorieuses.
-d'une Anne Quatresols qui s'engagea à seize ans et conduisit des chevaux d'artillerie aux sièges de Liège et d'Aix la Chapelle
-d'une Madeleine Petitjean qui s’enrôla à 49 ans dans l'armée de l'ouest
Elles ont été oubliées par les chroniqueurs et n'ont pas laissé de témoignage écrit.
On ne saurait en dire autant d'Olympe de Gouges heureusement pour sa mémoire
Elle considérait que les femmes étaient capables d’assumer des tâches traditionnellement confiées aux hommes et, dans pratiquement tous ses écrits, elle demandait qu’elles fussent associées aux débats politiques et aux débats de société. S’étant adressée à Marie-Antoinette pour protéger « son sexe » qu’elle dit malheureux, elle rédigea une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, calquée sur la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, dans laquelle elle affirmait l’égalité des droits civils et politiques des deux sexes, insistant pour qu’on rendît à la femme des droits naturels que la force du préjugé lui avait retirés. Ainsi, elle écrivait : « La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune. » La première, elle obtint que les femmes fussent admises dans une cérémonie à caractère national, « la fête de la loi » du 3 juin 1792 puis à la commémoration de la prise de la Bastille le 14 juillet 1792.
Parmi les premiers, elle demanda l’instauration du divorce – le premier et seul droit conféré aux femmes par la Révolution – qui fut adopté à l’instigation des Girondins quelques mois plus tard. Elle demanda également la suppression du mariage religieux, et son remplacement par une sorte de contrat civil signé entre concubins et qui prenait en compte les enfants issus de liaisons nées d’une « inclination particulière ». C’était, à l’époque, véritablement révolutionnaire, de même lorsqu’elle militait pour la libre recherche de la paternité et la reconnaissance d’enfants nés hors mariage. Elle fut aussi une des premières à théoriser, dans ses grandes lignes, le système de protection maternelle et infantile que nous connaissons aujourd’hui et, s’indignant de voir les femmes accoucher dans des hôpitaux ordinaires, elle demandait la création de maternités. Sensible à la pauvreté endémique, elle recommandait enfin la création d’ateliers nationaux pour les chômeurs et de foyers pour mendiants. Toutes ces mesures préconisées « à l’entrée du grand hiver » 1788-1789 étaient considérées par Olympe de Gouges comme essentielles, ainsi qu’elle le développe dans Une patriote persécutée.
dernier écrit avant sa mort. Elle fut guillotinée..........
A toutes nous devons quelque chose et il en manque sûrement,Louise Michel & Rosa Luxemburg &
Rosa Parks & Anne Frank & Coco Chanel & Mère Théresa & Simone Veil & Aung San Suu Kyi &
Colette & Marie Curie & Ségolène Royal & etc...
Merci messieurs pour ce paquet cadeau tous les 8 mai comme nous sommes vos égales nous vous disons que nous vous apprécions et aimons toute l'année.........donnez votre oreille , tout prés chut ,chut ''pour la lutte de l'égalité pour les femmes ..
le plus dur c'est convaincre les femmes. ''
Houpi..♪ ♫
♪ ♫ ♪ ♫ ♪ ♫
♥ |
|
|
|